En équipe :

Être dans le moment, dans l’ouverture à l’autre, prêt, à l’écoute, disponible. Il s’agit ici dans un premier temps de séparer l’observation de l’évaluation. En communication non violente, elle permet d’éviter que l’interlocuteur reçoive une critique.

Dans notre communication nous essayons de ne pas porter de jugement de valeur. Rester à l’écoute de l’autre dans l’optique d’identifier nos sentiments.

Observer minutieusement en utilisant ses trois cerveaux : la tête, le cœur et les tripes.

Sur le terrain :

Dans le bâtiment, l’observation du paysage, et du chantier doit se faire de la sorte. Cela permet d’une part d’appréhender un projet dans sa globalité : Les sentiments du porteur du projet, le paysage dans lequel il s’intègre, les matériaux qui seront utilisés…

Une observation fine et sensible permet un gain conséquent d’énergie en optimisant le travail, en utilisant des matériaux issus de cette observation locale…

Dans nos formations :

Séparer observation et interaction permet de favoriser la coopération. Considérer l’autre comme partie intégrante de cette observation et comme moteur d’interactions.

Nous considérons nos apprenants dans leur intégralité (humaine, sociale, physique). C’est de cette observation minutieuse que nous pouvons agir en conséquence ( proposer des hébergements, un moyen de transport collectif, dialoguer, trouver des aménagements…)

Avoir des formateurs ancrés dans la pratique nous permet de placer les apprenants constamment dans une situation d’observation.